«Les histoires sages finissent souvent par un beau mariage et beaucoup d’enfants», chantent joyeusement, en 1964, Guy Béart avec Christiane Canavese. Même si «l’amour qu’on se jure n’est pas garanti» et que l’on se demande parfois à part soi, avant d’aller… se mettre la corde au cou: «Vais-je dire oui?» Evidemment, une fois «unis par les liens sacrés du mariage», on applaudit le meilleur et on oublie le pire. Tant et si bien que lorsque survient ce pire indésirable — bien souvent au détour de mésententes ouvertes, d’incompatibilité d’humeur ou de violations graves du contrat moral de l’acte mariage —, s’ouvre dans la vie du couple un boulevard d’incertitudes, de déchirements, de drames…